La Coupe du Monde de football est le tournoi international le plus prestigieux du sport, réunissant les meilleures équipes nationales du monde entier. Organisée tous les quatre ans par la FIFA, elle célèbre l’excellence, la passion et l’unité à travers le football, captivant des milliards de spectateurs. Chaque édition est une vitrine de talents exceptionnels, de moments mémorables et d’histoires inspirantes, forgeant des héros et des légendes du jeu. La Coupe du Monde favorise également un sentiment d’appartenance mondiale, transcendant les frontières et les différences culturelles pour rassembler les nations dans un esprit de compétition fair-play et de respect mutuel.
Des mamies françaises et sud-africaines âgées de 70 à plus de 90 ans prouvent que la passion pour le football ne connaît pas d’âge. Elles sont réunies autour de la Coupe du Monde senior de football féminin, une raison de plus d’essayez Paridirect, bookmaker français, pour une offre complète et une meilleure expérience possible dans le domaine des Paris Sportifs en ligne. Elles sont conscientes de l’écart social, économique et culturel qui les sépare, mais découvrent que, par-dessus la compétitivité, le véritable but à marquer est celui des valeurs transmises par le football.
Dans le cadre de la Coupe du monde de football au Qatar, avec ses moments de gloire et ses nombreuses ombres, le football présente une autre facette : ces grands-mères montrent que sur le terrain, ce qui compte le plus, ce n’est pas l’argent.
Les “Mamies Foot”, plus de passion que de technique
Elles se prénomment Arlette, Yvonne, Edith, Francine… et leur nom résonne dans les haut-parleurs lors de la présentation de la composition des “Mamies Foot” au stade de Saint-Étienne. Ainsi, 18 femmes âgées de 70 à plus de 90 ans forment la première équipe féminine senior de football en France. Très peu d’entre elles ont déjà touché un ballon.
En fait, ces grands-mères ont été sélectionnées dans des maisons de retraite. Martine raconte que la directrice lui avait demandé si elle voulait jouer au football. Émue, elle se souvient encore du jour où on lui a proposé d’intégrer l’équipe.
D’ailleurs, elle a insisté auprès de l’entraîneuse pour recruter Simone, une autre membre des mamies foot car elle court beaucoup tout en se remémorant le temps où elles sortaient ensemble pour s’étirer les jambes, sans même savoir ce qu’était un corner.
Un certain temps plus tard, la Coupe du monde des grands-mères footballeuses les a qualifiées pour affronter l’équipe sud-africaine. La différence de niveau et de physique est flagrante et c’est non sans appréhension qu’elles se sont préparées pour la rencontre. En effet, les Sud-Africaines ont une équipe bien rodée et préparée.
Les “Soccer Grannies” vont tout donner
Les Sud-Africaines ont une longueur d’avance sur leurs adversaires. La plupart jouent au football depuis des années. Certaines depuis plus d’une décennie. Rebecca Bekka Ntsanwisi, connue sous le tendre nom de “Mama Bekka” et fondatrice du mouvement “Football pour les grands-mères d’Afrique du Sud”. Elle a commencé à introduire le football pour les femmes âgées dans son pays alors qu’elle était hospitalisée pour un cancer du côlon et a rencontré d’autres grands-mères souffrant de diverses pathologies. Toutes avaient reçu pour prescription de faire de l’exercice, et c’est ainsi que le football est entré dans leurs vies.
Le sport comme échappatoire
Anna Bull Buma a vécu un accident et a été renversée par un bus qui l’a laissée avec de fortes douleurs. Elle a rejoint le groupe de Mama Bekka et veut guérir grâce au football. Et depuis qu’elle joue, elle affirme ne plus souffrir du diabète ni d’hypertension. Comme elle, ces femmes âgées de 70 et 80 ans ont trouvé dans le football une solution pour leur santé et un moyen d’échapper à la dureté de leurs vies.
Le jour de vérité : compétitivité, accueil et solidarité
Pour une première rencontre internationale en 2019, le voyage des Sud-Africaines en France est empreint d’émotion. La plupart de ces grands-mères n’ont jamais pris l’avion auparavant. Mais ce n’est pas tout. Elles sont très motivées et elles sont venues pour gagner.
À leur arrivée, leurs adversaires, les “Mamies Foot”, les attendent. La rencontre est chaleureuse, entre embrassades et câlins, plein d’affection. Un premier choc pour les Sud-Africaines, habituées au racisme quotidien et qui ont connu l’apartheid.
La supériorité des Africaines est évidente. Le score est lourd à la mi-temps, 3-0 . Mais pour ces femmes, l’accueil, la solidarité et l’enthousiasme pour la vie sont bien plus importants que la pure compétitivité. Le football les éloigne de leurs problèmes et de leurs douleurs.
En 2023, la coupe du monde des mamies de football s’est déroulée en Afrique du Sud. Les Françaises ont atteint les quarts de finale mais ont été éliminées aux tirs aux buts par le pays hôte.
Quelles leçons retenir de ces Mamies Foot ?
Les “Mamies Foot” sont la preuve vivante que la passion pour le football ne connaît pas d’âge. Ces femmes âgées de 70 à plus de 90 ans, réunies autour de la Coupe du monde senior de football féminin, ont démontré que la compétitivité n’est pas le seul objectif du jeu. Pour elles, le football est un moyen de rester en forme, de créer des liens et de défier les stéréotypes liés à l’âge. Leur engagement et leur enthousiasme sont une source d’inspiration pour tous, rappelant que le sport peut apporter la joie et l’épanouissement à tout moment de la vie. Elles continuent aujourd’hui de s’entraîner et de jouer chaque semaine avec des filles âgées de 11 à 15 ans.